A la Réunion, le paysage du Sud et surtout celui de l’Est ressemble à un vaste tapis vert.
En effet, à la Réunion, l’espace agricole a une très grande place et la culture de la canne est primordiale pour l'économie de l'île à l'heure actuelle.
Il s’agit tout de même de la deuxième source de revenu de l’île.
Ainsi 55% des surfaces agricoles sont consacrées à la culture de la canne.
Comme vous pouvez le constater la canne à sucre produit une très belle fleur qui danse selon la brise que Dame Nature nous offre.
Il semblerait que la canne à sucre soit originaire de l’archipel de la Nouvelle-Guinée et qu’il n’existerait de canne à sucre à l’état sauvage.
La canne à la Réunion fait parti du patrimoine de l’île. Elle existe sur notre île depuis 1663.
Elle fait partie intégrante du paysage réunionnais. Tous les réunionnais qui ont grandi sur le littoral ont connu la coupe de la canne manuelle.
L’amour de la canne est réel à la Réunion, c’est une culture très importante. Non seulement aujourd’hui elle nous donne la possibilité d’avoir du sucre de la Réunion qui soit exporté à travers le monde mais également la bagasse (le reste de la canne qui était auparavant considéré comme un déchet vert) qui permet à l’île de faire un pas vers une énergie renouvelable puisque cette bagasse permet, après combustion d’alimenter nos centrales thermiques qui produisent l’électricité sur l’île.
La filière canne est une culture subventionnée par l’Europe et La Réunion le lui rend bien dans la mesure où elle est la première productrice européenne de sucre de canne. Si vous dire que cette culture est importante.
La canne permet également de nous désaltérer en été, car avec cette canne il est aisé de produire du jus à consommer de préférence frais.
Enfin avec la canne il est également possible de produire du rhum, qui est la base de nos punch et de nos rhum arrangés. Aujourd'hui du sirop de cannes est produits également, mais cela vous deviez vous en doutez puisque qu'à la base la culture de la canne était pour la production de sucre.
En espérant que les clichés vous plaisent et que cet article vous est plu, il ne me reste plus qu'à vous dire « à bientôt ».