Aujourd'hui, j'aimerai vous présenter une espèce mais je ne vais pas trop me mouiller. Il s'agit de l'Epeire (Neoscona sp.).
Pour la petite histoire, ces photos ont été prises aux abord d'une route dans les hauts de la Petite-Ile.
Pourquoi, je vous dis que je ne vais pas trop me mouiller, car en fait je suis très embêtée pour vous dire s'il s'agit d'une Epeire lugubre (Neoscona punctigera (Doleschall, 1857)) ou d'une Epeire sombre (Neoscona subfusca).
C'est pour cela que je vous présente cette individu sous le nom de Neoscona sp, car je suis sûre que c'est une Epeire (d'où le nom de "Neoscona") mais comme je n'arrive pas à identifier de quelle sous-espèce il s'agit alors voilà le pourquoi de la mention "sp".
D'ailleurs, s'agissant de l'article relatif à l'Epeire lugubre, je me pose toujours la question si l'individu un peu plus brun en est une véritablement.
Ici, je penche plus pour une Epeire sombre au vu de sa grandeur. En effet, cet individu mesurait dans l'ordre du centimètre alors que l'Epeire sombre doit être à hauteur de neuf millimètre. Bon il est vrai que je ne me suis pas promener avec une règle graduée pour effectuée cette constatation.
Quoiqu'il en soit celle-ci était beaucoup plus grosse que les précédentes.
En tout état de cause, si avant je me posais la question de savoir où elles se cachaient en attendant la nuit. Aujourd'hui j'ai un début de réponse puisque j'ai trouvé celle-ci dans le cœur d'une jeune pouce de Bringellier.
J'avoue qu'elle ne semblait pas être très ravie que je sois là, en train de la déranger sa pause. De nombreuses fois elle s'est replier ur elle comme si elle me voyait comme un prédateur potentiel.
J'ai donc fait quelque clichés, cela à durer une dizaine de minute et je l'ai laissé terminer sa journée tranquillement.
Enfin, il est l'heure pour moi de vous dire "à bientôt" en espérant que cet article ainsi que ses photos vous aient plu.